Dans un monde secoué par des crises humanitaires, économiques et climatiques, partage.lu s’engage dans un esprit évangélique et travaille avec les principes de la doctrine sociale de l’Eglise catholique. La foi et l’espérance renforcent les efforts de coopération au développement pour contribuer à un monde plus équitable et plus humain. La foi nous invite à changer de vie et nous rallier du côté des plus marginalisés et des plus pauvres.

 

« La Fondation a pour objet de promouvoir et de soutenir des projets de coopération au développement visant à améliorer les conditions de vie de la population, en particulier en Afrique, en Asie et en Amérique Latine, notamment au niveau de l'éducation, de la formation, de la nutrition, de la santé, de l'habitat et de l'intégration dans le monde du travail. La Fondation exerce ses activités en étroite coopération avec des partenaires locaux spécialisés dans les domaines respectifs. »

(Extrait des statuts de la Fondation, publiés dans le Mémorial C 731 du 26 mars 2008, No 35073)

 

Notre mission est donc de collaborer à une amélioration des conditions de vie de populations vulnérables en favorisant l’accès des enfants, jeunes et adultes à l’éducation, la sensibilisation et la formation professionnelle. Cette approche est une des possibilités pour renforcer leurs capacités de se prendre en charge et de trouver des solutions aux problèmes de pauvreté.

Les bénéficiaires des projets sont au centre de notre intérêt. Les projets de développement social ciblent des personnes vulnérables sans distinction sont de race, de religion, de sexe, de l’âge, de l’allégeance politique ou du handicap.

La Fondation Partage Luxembourg ne peut s’engager aux côtés des bénéficiaires que grâce aux donations reçues par des personnes privées, des communautés chrétiennes et par le Ministère de la Coopération et de l’Aide Humanitaire.

Les projets et programmes acceptés et financés visent des résultats à moyen ou long terme en vue d’une autonomisation des personnes dans leur vie quotidienne.

L’éducation, la formation et la sensibilisation sont les thèmes développés dans les projets et visent l’autonomisation des bénéficiaires c’est-à-dire soutenir les bénéficiaires pour qu’ils puissent se prendre en charge eux-mêmes de façon durable.

De même la Fondation se rallie aux efforts d’éducation au développement promues par les ONGs et le Cercle de Coopération de Développement des ONGD de Luxembourg dans la conviction que des solutions aux problèmes de pauvreté et d’inégalité sont trouvées d’abord par les populations bénéficiaires des projets et en même temps ces solutions exigent un changement de style de vie chez nous et dans nos sociétés.