Un appel à la solidarité mondiale

Vidéo version anglaise : https://youtu.be/YxTV9J26Aps

Vidéo version luxembourgeoise : https://youtu.be/ep6fSxohqKo

Ce message vidéo, publié par 13 ONG de développement, visualise le besoin de solidarité internationale en ces temps de pandémie mondiale. La vidéo montre comment les organisations et leurs partenaires dans le Sud font face à la pandémie dans les sociétés les plus pauvres et les plus vulnérables du monde. Dans beaucoup de ces pays, une autre crise est imminente : la crise de la faim et la crise économique, qui intensifient les fractures et les inégalités déjà présentes au sein de nos sociétés globalisées. Nous ne pouvons donc pas fermer les yeux, mais nous devons renforcer nos efforts et être solidaires.

500 ans après que les européens ont initié – volontairement ou non – le génocide des peuples autochtones en Amérique latine, un président d’extrême-droite est élu et promeut avec son gouvernement l’extinction des peuples indigènes et la destruction de l’Amazonie pour ouvrir les espaces « vides » à être exploités par une économie meurtrière.

Fin avril, Le Guatemala déclarait 289 cas de Covid-19 et 7 morts. D’après notre partenaire, la réelle situation d’infection était inconnue…

Actuellement, Le Guatemala déclare au 30 juin 16.930 cas, dont 13.049 cas actifs et 727 décès. Mais, les experts indiquent que le nombre de tests est si minime, qu’il faut estimer que les chiffres à l’échelle nationale sont 10 fois plus élevés que les chiffres officiels.

29 juin 2020, en la solennité de Saint-Pierre et Saint-Paul

Les Pères du Synode pour l’Amazonie avaient proposé de "créer un organisme épiscopal qui promeuve la synodalité entre l'Église de la région pan-amazonienne, qui aide à délimiter le visage amazonien de l'Église et qui continue la tâche de trouver de nouveaux chemins pour la mission évangélisatrice" (DF, 115), à la demande du Pape François. 

Sonderausgabe COVID 19 Pandemie

Steht Afrika vor dem Abgrund? Unsere Partner informieren

"Im Vergleich zum Rest der Welt scheint der afrikanische Kontinent von der Pandemie weniger ernsthaft betroffen zu sein: insgesamt sind 112.290 Personen infiziert und 3.359 Todesfälle wurden registriert (Quelle African Union https://au.int/fr/covid). Trotzdem fordert die WHO Afrika unmissverständlich auf, aufzuwachen und sich bereit zu halten. Die Zahlen sind auf Anhieb nicht besorgniserregend aber das liegt vor allem daran, dass der Kontinent ungenügend testet und die 54 Länder nicht oder nur unzureichend auf die Pandemie vorbereitet sind.

Ensemble prévenir la pandémie du COVID-19 auprès des peuples indigènes brésiliens

« La synergie entre l’ambassade du Grand-Duché de Luxembourg à Brasília et partage.lu, pour le projet de prévention du Covid-19 auprès des peuples indigènes en Amazonie légale, est un appui fondamental dans le combat contre l’épidémie » confirme Laudovina, une responsable du Conseil Indigéniste Missionnaire-CIMI. La vidéo produite par le CIMI montre la confection de masques et leur distribution dans les différentes communautés laissées à leur sort, sans défenses contre l’infection. Les indigènes veillent sur une isolation sévère de leurs territoires et ont installé des barrages à l’entrée de leurs communautés.

Sensibilisation des indigènes au Brésil face au Covid 19

Nous vous présentons ici des affiches créées par notre partenaire au Brésil, CIMI: Conseil Indigéniste Missionnaire, dans le cadre de sa campagne de sensibilisation des indigènes au sujet du Covid-19.

Dans le cadre de la sensibilisation des peuples indigènes, voici un message du Wapoxire Ãwa. Le peuple des Avá-Canoeiro, un des 10 peuples du Goiás- Tocantins en Amazonie légale, a survécu au génocide et compte aujourd’hui avec 25 survivants. À travers le Conseil indigéniste-CIMI, notre partenaire, ce peuple est bénéficiaire de notre projet. Ils ont une longue histoire de résistance décidée contre les colonisateurs. Au long des derniers 200 ans ils se sont déplacés beaucoup en canoë, pour cette raison ils portent aussi ce nom « Canoeiro ». Leur autodénomination dans leur langue tupi-guarani est Ãwa : être humain, personne.

Les partis majoritaires luxembourgeois et le CETA

Vote ce mercredi : malgré les expériences de la crise du Corona, la mondialisation à tout prix !

Ce mercredi, la Chambre des députés luxembourgeoise entend adopter les accords de libre-échange très controversés entre l'Union européenne et le Canada (CETA) et avec Singapour.

Le simple fait que ce vote si important ait lieu en pleine crise de Corona, lorsque les options de protestation de la société civile sont sévèrement restreintes, équivaut à un scandale démocratique.

Sur le site du Mouvement Ecologique, vous pouvez signer une lettre aux députés, les incitant à ne pas donner leur accord au CETA. Comme la réunion en question est le mercredi 6 mai, donc, demain, il est nécessaire de signer la lettre avant demain, mercredi 6 mai à 14h.

Nouvelles du Brésil - début mai 2020

Aujourd'hui nous partageons avec vous des informations qui nous viennent de frère Dário Bossi de l'organisation Iglesia y Minería, un partenaire de CIDSE: 

The health crisis has surpassed any prediction: we already have more deaths from Covid-19 than China; in the past few days we have surpassed the number of 400 died persons per day; it was calculated that the underreporting of the data offers numbers between 2 and 9 times smaller than the reality; the Imperial College of London has demonstrated that Brazil is the country with the highest contagion rate in the world.

The ecological crisis is intensifying violence against Brazil's biomes and populations, because of the reduction of surveillance and control, incentives for deforestation and mining, attacks on indigenous lands and bills to allow mining on their lands (PL 191/20) or regularize land grabbing in the country (MP 910/19).

Amnesty International

Confiscations de terres et COVID-19 : la double menace qui pèse sur les peuples indigènes du Brésil

À travers le Brésil, de nombreux peuples indigènes s’isolent volontairement, barricadant les accès routiers afin de protéger leurs villages contre la pandémie de COVID-19. Comme l’a récemment déclaré à Amnesty International une infirmière indigène jointe par téléphone : « J’explique qu’il est important de ne pas quitter nos villages. Nous sommes plus de 400 personnes à vivre dans ce territoire indigène. Si une personne contracte le COVID-19, le virus peut tous nous contaminer. »