Le projet propose une panoplie d’activités qui visent soit la production de nourriture, soit l’augmentation des revenus pour que les familles puissent acheter de la nourriture. Le croisement d’une nouvelle race de chèvre avec les chèvres locales permet d’augmenter la production de lait. L’installation de puits assure l’approvisionnement en eau et rend possible l’agriculture familiale. L’octroi de microcrédits favorise la création de petits commerces et augmente les revenus des familles concernées.
En janvier 2018, j’ai visité ce projet et je voulais savoir si les bénéficiaires du projet ont souffert de la famine qui a frappé durement la région en 2017. J’ai presque sauté de joie en entendant les bénéficiaires me dire : « Nous avions assez à manger et nous n’avons pas eu besoin d’aide alimentaire ».
Willimena, la coordinatrice du projet, confirme que les bénéficiaires du projet ont pu être supprimés des listes de personnes profitant de l’aide alimentaire.
Quelle belle réussite ! Ceci confirme que la poursuite de ce projet vaut vraiment la peine pour que d’autres bénéficiaires puissent aussi briser leur dépendance à l’aide alimentaire.
Vous trouverez des informations supplémentaires sur le projet au Kenya ici.
Denise Richard